ATELIERS
Enseignement
Depuis 2018, encadrement d’un cours pratique sur le documentaire radiophonique destiné aux étudiants de 3ème année en réalisation de l’Institut des Arts de Diffusion.
Ateliers Radio
Depuis 2017, encadrement d’ateliers radio pour débutants en partenariat avec diverses asbl : d’une certaine gaité, Cineke
ATELIER VIDEO : CENTRE REINE FABIOLA
En 2017, j’ai collaboré avec Alice Hanotier pour l’encadrement d’un atelier vidéo à destination des résidents du Centre Reine Fabiola de Soignies. Cet atelier a abouti à la réalisation d’un court-métrage Kérosène & Paquerettes, primé au festival des pom’s d’or.
Interprétation : Paula de Coster, André Delsaux,Patrick Bontemps
Equipe technique : Bastien Carle, Bruno Depamelaere Christian De Backer, Jacky Sibille,, Jean-Luc Oosterlinck, Medhi Ben Mohamed, Romain Dufour
Direction : Alice Hanotier
Assistanat : Sonia Ringoot
Musique: Sages comme des sauvages et l’atelier musique des coulisses dirigé par Marc Janssens
Année de production : 2017
le site du film : https://alicehanotier.wixsite.com/kerosenepaquerettes
ATELIERS URBAINS
En 2014, je fus en charge de la coordination d’ateliers en vue de la réalisation d’un film avec les habitants de la tour des Goujons à Anderlecht. J’ai également participé à l’encadrement de l’atelier vidéo.
Goujons 59/63
Un film de Gwenaël Breës, Mathieu Haessler, Cécile Michel & Sonia Ringoot – 69′- 2015
production: Centre Vidéo de Bruxelles
Nous sommes à Bruxelles, commune d’Anderlecht, quartier de Cureghem. Aux numéros 59-61-63 de la rue des Goujons, s’élance une tour de 18 étages comprenant 384 appartements sociaux, 900 habitants, 1500 portes et 1 concierge. « Goujons 59/63 » est une chronique de la vie et de la cohabitation dans un immeuble de logement social, en compagnie d’habitants attachés à leur lieu de vie, de travailleurs sociaux qui tentent d’en colmater les brèches et du concierge, figure centrale de ce monde dont il connaît toutes les clés. Un voyage dans les entrailles de cet imposant bâtiment, fleuron du logement social lors de son inauguration en 1975 qui, 40 ans plus tard, résiste vaille que vaille au temps et au manque d’entretien. Avec ses locaux techniques, ses dédales de couloirs, ses ascenseurs en panne, ses balcons fermés « temporairement », ne symbolise-t-il pas l’administration du logement social dans laquelle naviguent les habitants ?